Les chaînes relatives aux talismans ont en premier lieu eu, d’après Paul Aveneau de La Grancière, une utilisation fétichiste ou en rapport avec les astresAvant que la femme (parti-pris contraint) ait eu envie d’en augmenter la splendeur de son charme. Car l’élégance est arrivée sur terre au moment où la femme est apparu dans l’univers !

Le gandin est le grain de sable de la société

L’indispensable n’est pas obligatoirement sans principe. Cependant, les normes sont injustes… Arrivées sur terre par le bon vouloir d’un seul homme, le gandin avec sa sacoche provocante. Il sera la norme en révélant l’injuste, l’absence de valeurs intellectuelles et l’orgueil, tortionnaire et martyr en même temps. Le gandin écarte les normes de la société, cependant, non sans contradiction, étant donné qu’il s’approprie personnellement un agissement communautaire. En établissant sa loi, il bouscule le fonctionnement idéal de la communauté… Incorporant une norme perturbante, établissant la bienséance de la grossièreté et une dépendance sans assimilation. Sans doute, est-ce lui donner énormément de respect. Cependant, c’est apporter à ses audaces, qui concernent les vêtements, une norme qui n’existera pas dans orgueil de la femme. En dehors de cette attitude de la société, quelques élégances éditoriales de la période romanesque, sont issus du dandysme et se positionnent dans l’élégance de l’esprit révélateur des hommes.

Les écrivains propagent des attitudes trompeuses

L’attitude désinvolte et mensongère de Stendhal, les messages ironiques à l’observateur chez Mérimée, le dédain des préférences de l’auditoire chez Musset, la réunion de tournures aristocratique et amusante pour Byron… Élégances, cette spécification de ne pas donner d’influence à ce qu’on trace sous la plume… La dévaluation méthodique de son travail, la vue lumineuse sur l’opération de l’écriture… Il est nécessaire de la magnifique inconvenance de Byron pour arrêter un mouvement poétique par une plaisanterie avec son observateur.

L’éditorialiste de l’époque ne s’y est pas trompé et cause du dandisme de poème chez quelques écrivains. C’est la confusion d’un vaniteux toilettage de la matinée, aurait pu considérer Duvergier de Hauranne en montrant du doigt les façons de se libérer utilisées par les romanesques avec la poésie. Exclusions insolentes, rimes au singulier et du pluriel, propos alambiqués… L’éditorialiste d’art s’est également accaparée du mot. De cette façon pour la Clytemnestre de Guérin, Gault de Saint-Germain le blâme pour un jeu extrêmement caricatural sur la physionomie de la vérité, chimérique, trompeuse…

L’envie de narguer les préjugés

En ne tenant pas compte des théories, et simultanément, d’après une contradiction maintenant célèbre, de ne rechercher qu’à charmer et à conquérir. C’est un comportement de gandin, et le jugement ne nous étonne pas… La chasteté et les assassinats de l’antiquité sous son sage stylo, enchaînés à des bienséances extravagantes, à des procédés néfastes… Conduisent, finalement, à cette sorte d’élégance dans la réalisation, qui mène à montrer sous le regard même des peintures prodigieusement grandes, révèlent une inspiration grandissante. Dans l’utilisation ordinaire, l’élégance esthétique marque en ce cas, la contradiction de rechercher le triomphe… Pour une artiste, en se montrant dans un théâtre extrêmement petit ou, pour un auteur, en faisant une publication à petite quantité, de manière à être réclamé à nouveau.

Plus fortement, c’est le comportement qui vise à dévoiler les physionomies de la vérité par la minutie de son développement… Ou par l’emploi de différentes tromperies qui en ruinent la conséquence. Ainsi, les fioritures additionnées par Gustave Moreau aux plus pointilleuses fac-similés de la vérité concerneront cette aristocratique élégance qui tient de la délation, à défaut de la rébellion. Dans une idée de l’élégance très enracinée dans la comédie de l’attirance de la femme qui vient de Rousseau… Georg Simmel enrichit un peu plus le sujet. Car abondant sur les pratiques générales de l’attitude de l’Homme qui dispose dans le rapport entre les natures sexuelles son idéal parfaitement normé.